Transport

Qualité de l’air dans les enceintes ferroviaires souterraines : une priorité pour la RATP

La qualité de l’air dans les enceintes ferroviaires souterraines est une priorité pour la RATP, pour les millions de voyageurs comme pour ses milliers de salariés.

Le défi de la qualité de l’air dans les enceintes ferroviaires souterraines (EFS) est commun aux exploitants de métro de toutes les métropoles du monde. La pollution de l’air dans ces espaces est liée à l’activité ferroviaire elle-même, source de particules, mais aussi à l’introduction de polluants liés à l’air extérieur.

La RATP exerce depuis plus de 25 ans en lien avec Île-de-France Mobilités (IDFM), l’ANSES, l’Ineris et Airparif, une activité de veille, de surveillance et d’expertise de la qualité de l’air circulant dans le réseau souterrain. Selon Airparif, le dispositif mis en oeuvre par la RATP est «le système de mesure de référence le plus complet au monde». Le réseau exploité par la RATP est d’ailleurs dans le TOP 5 des meilleurs réseaux de transport au regard des niveaux PM2,5 et PM10 selon une comparaison internationale menée par Airparif. À ce jour, aucune norme légale ou règlementaire ne peut être prescrite pour mesurer la qualité de l’air dans les enceintes ferroviaires souterraines. L’Anses a néanmoins publié des recommandations générales en 2022 que la RATP s’efforce de suivre et tenant compte du temps d’exposition des voyageurs.

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