Nous évitons bien sûr d’afficher des images publicitaires véhiculant une atteinte à la morale ou faisant l’apologie de la violence. Mais la censure des affiches n’est pas laissée à l’arbitraire du propriétaire ou de l’exploitant des emplacements où elles sont apposées. Comme toutes les entreprises, nous devons nous conformer au principe de la liberté d’affichage, tel qu’il est défini par les dispositions légales en vigueur.
Dès lors qu’une affiche publicitaire n’a pas fait l’objet d’une mesure d’interdiction et ne transgresse pas les règles définies par le nouveau Code pénal, rien ni personne ne saurait s’opposer à son affichage.
En cas de refus, la RATP peut tout simplement être assignée en justice pour refus de vente par les annonceurs et condamnée à verser des dommages et intérêts.